Présentation Aloha

ALOHA, ce nouvel opus de Typh Barrow n’est pas seulement un album de musique. C’est aussi un voyage extraordinaire, une aventure humaine écrite les pieds sur terre et la tête dans les étoiles

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ALOHA – Une complicité avec le public

Depuis le succès de RAW (n°1 à sa sortie en janvier 2018 et sacré disque d’or), Typh Barrow n’a pas cessé de tourner, remplissant des salles de plus en plus nombreuses et de plus en plus grandes !

Selon un procédé inhabituel et redoutablement efficace, ce sont les 60 000 spectateurs réunis durant ces deux années de folie qui ont testé et validé les chansons de ce nouvel album.

C’est aussi pour cela que Replace et Doesn’t Really Matter, les deux premiers singles extraits d’Aloha, soutenus massivement par la plupart des radios, sont devenus des succès immédiats. Le public ne se trompe jamais.

ALOHA – un voyage initiatique hors du temps

Aloha est un voyage initiatique, unique dans une vie. Un tour du monde et une expérience humaine qui transcendent tout l’album.

Bruxelles, Londres et… La Nouvelle-Calédonie ! Difficile de trouver une terre plus éloignée, mais c’est pourtant là que s’est écrite une partie de l’histoire.

Et plus précisément sur l’île de Maré. Typh y est allée à la rencontre de Gulaan, artiste kanak, star adulée à l’autre bout du monde. Le chanteur nous fait l’honneur d’ouvrir l’album (dans sa langue natale, le « Nengone ») de sa voix profonde et envoûtante qui nous emmène au-delà des océans.

Une rencontre magique entre deux langues et deux cultures.

ALOHA – Organique et puissant

Aloha est un album organique, de la naissance des chansons à leur enregistrement.

Typh impressionne en élevant encore son niveau dans tous les compartiments de jeu. Sa voix affirmée de vieille âme vagabonde échappée des studios de Muscle Shoals a sans aucun doute encore gagné en nuances et finesse. Elle signe également tous les textes (des paroles à plusieurs degrés de lecture) et musiques (des grandes mélodies, celles qui ne vieillissent pas). Plus que jamais, Typh a digéré ses multiples influences en y ajoutant sa propre patte.

Réalisé par François Leboutte (manager, producteur, directeur artistique, et déjà aux commandes de l’album précédent) et l’Anglais Dave Eringa (The Who, Manic Street Preachers, Kylie Minogue, Calogero…), Aloha se révèle comme un album intemporel à la production léchée et à la diversité musicale très convaincante où chaque chanson est un single potentiel.

Aloha signifie « Bienvenue à vous, tel que vous êtes ». Tel est le message universel de ce duo hors du temps, plage titulaire de plus de sept minutes qui ouvre majestueusement l’album.

Tout aussi efficaces que le très pop Replace et le percutant Doesn’t Really Matter, le funky Colour aborde le problème du racisme et Damn ! You’re Bad (rugueux et rocailleux), sur fond de Django Unchained, évoque l’esprit des bons films des années 70.

Les yeux dans le blues et la voix dans la soul, performeuse hors norme, Typh nous crève le cœur dans le déchirant Very First Morning (blues ultime et bouleversant) et dans le torride The Other Woman qui a incontestablement l’étoffe des plus grands classiques des divas soul.

Autre surprise : The Gift. Ou quand la plus belle voix du sud rencontre la plus belle voix du nord du pays : celle de Jasper Steverlinck, leader d’Arid. Un duo rare, une alchimie, un échange artistique né sur scène et qui n’attendait qu’à être immortalisé. Un cadeau 100% belge.

Enfin, dans les touchants They’re Calling Your Name et Sister, les guitares apportent une tonalité indéniablement folk à laquelle Typh ne nous avait pas habitués jusqu’à présent.

Embarquez sans plus attendre pour ce voyage dont le fil rouge reste la voix soul unique et la griffe musicale qui n’appartient qu’à Typh, loin des chemins souvent trop tracés de la production pop actuelle…

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(Aloha est produit par le label indépendant Doo Wap, qui offre au projet le confort d’une totale liberté artistique et stratégique.)

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